GLOBAL
INDUSTRIE
Actualités

Partager sur

FOCUS - Étude ACCENTURE « Industrie du Futur 2025 »

« Le poids de l’industrie dans la valeur ajoutée nationale s’est stabilisé. C’est inédit depuis 30 ans ! »


Le Cetim publie un entretien avec Max Blanchet, Directeur Exécutif chez ACCENTURE Strategy en charge de l’industrie 4.0, qui a présenté le 16 décembre 2019 au Medef l’étude « Industrie du futur 2025 » réalisée à l’initiative du Gimelec et du Symop, sous l’égide de Alliance Industrie du Futur. 
 

Des propositions pour l’Industrie du Futur 2025

 

À la lumière de l’étude « Industrie du futur 2025 » réalisée par Accenture, le Gimelec, le Symop et l’Alliance Industrie du Futur avancent plusieurs propositions :

 

 

  • Le déploiement d’ici 2021 d’un dispositif de suramortissement élargi, pérenne et accéléré, avec une attention particulière apportée à l’impact environnemental ;

  • Le projet d’un contrat de filière ambitieux « Machines et Solutions Industrielles Intelligentes » qui inclut une action forte sur les besoins en compétences nécessaires aux différentes formations et à l’intégration de l’industrie du Futur, en coopération avec l’UIMM, l’Education Nationale et les opérateurs.

 

Hors du secteur automobile, l’utilisation des outils numériques est trop lente.

 

C’est ce que révèle l’étude sur « les leviers pour intégrer l’Industrie du Futur d’ici à 2025 » réalisée par Accenture pour le compte de l’Alliance Industrie du Futur, du Groupement des entreprises de la filière électronumérique française (Gimelec) et du Syndicat des machines et technologies de production (Symop).


30% des entreprises françaises interrogées disent ne pas connaître les outils numériques de l’industrie 4.0. Seules 14% des entreprises françaises ont «partiellement déployé une solution numérique » et seules 2% « l’ont totalement déployée ». 


Par exemple, 81% des entreprises françaises « ne connaissent pas ou ne développent pas des véhicules guidés autonomes (AGV) ».


Selon cette étude, le poids économique de l’industrie manufacturière française s’est « stabilisé » depuis 2012, mais ne représente toujours qu’11% du PIB français contre 25% en Allemagne. 

 

 

 RETROUVEZ L'ETUDE COMPLETE 

Le 27/12/2019