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En 1991, dans l'épisode 2 de la saga Terminator, le monde découvrait le T-1000, un robot sanguinaire fait d'un métal capable de se liquéfier pour se métamorphoser à souhait. De la science-fiction. Aujourd'hui, des chercheurs de l’université de Binghamton (États-Unis) présentent un matériau, un métal liquide, conçu sur le même principe. 

À la base, l'alliage de Field qui comporte quelque 30 % de bismuth, 50 % d'indium et 20 % d'étain. Celui-ci devient liquide lorsqu'on le chauffe à 62 °C. Et l'équipe de l'université de Binghamton a choisi de combiner ce matériau à réseau métallique avec une coque en caoutchouc. Le tout grâce à un procédé qui implique impression 3D, coulée sous vide et revêtement conforme.
 

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